APRES LE SACANDALE DES O.G.M.

Toujours dans le légitime but de vous informer, l'ECHO des MONTAGNES vous livre l'affaire suivante, concernant les E.T.M., c'est-à-dire les éléments traces métalliques. La polémique sur les épandages des boues soulève la question des risques liés aux métaux lourds ; les plus évoqués car ils correspondent à des risques identifiés sont le cadnium, le chrome, le cuivre, le mercure, le nickel, le plomb, l'arsenic et le zinc. Si rien n'indique qu'à court terme, la sécurité alimentaire soit menacée, les conséquences de l'accumulation de ces produits sur les terres agricoles restent méconnues : bombe à retardement ou contamination mortelle ?

" L'épandage agricole des boues d'épuration est économique et environnementalement pertinent ". L'auteur de ce plaidoyer pour une pratique peu engageante, n'est ni un porte parole de Vivendi ni de la Lyonnaise des Eaux, mais un responsable des VERTS ! La France produit chaque année 700000 tonnes de boues séchées des stations d'épuration. Les petites communes ayant obligation de s'en équiper, ce chiffre atteindra environ 1,3 millions de tonnes en 2006 !

Comment s'en débarrasser ?
Pour nos vaillants ministres et élus, la solution est l'épandage, donc 65% de nos boues urbaines finissent sur des terrains agricoles. Mais on y trouve de nombreuses molécules indésirables, notamment ces fameux E.T.M. Il y a dans ces boues, un danger mortel de santé publique, qui ruinera un jour ceux qui ont accepté cette pratique, souvenez-vous de l'épisode des farines animales. Le danger de ces ETM, concerne leur passage dans la chaîne alimentaire, parce que l'un des problèmes posés par ces éléments ETM est qu'ils changent constamment de forme et de partenaire dans leurs interactions avec les constituants du sol (oxydes, molécules organiques, argiles, etc.). Certaines de ces formes sont inertes, au point que la plupart des réactifs peinent à les extraire et donc à les détecter. D'autres sont en revanche très actives chimiquement : elles se solubilisent, se recombinent, circulent dans les sols, gagnent les nappes phréatiques ou les végétaux. Seule l'identification de ses différentes formes, la spéciation, renseigne sur ce polymorphisme. Mais sur le plan de la sécurité alimentaire, la véritable question pour le con-sommateur ou pour le con-tribuable, est la quantité d'ETM dans son assiette ! Au-delà des problèmes des boues se pose celui de la santé de notre terre, c'est-à-dire le problème de la transformation des sols par des décennies de fertilisation de merde qui est soulevé ! Le processus d'accumulation est donc à l'śuvre. Cela a donné naissance à la théorie dite de la " CHEMICAL TIME BOMBE ", la bombe à retardement chimique, selon laquelle, on craint une rupture d'équilibre du système aboutissant à un relargage, à une destruction de nos terrains agricoles, donc de notre nourriture, donc de notre santé. Actuellement aucun parti politique en France ne se prononce clairement dans son programme, pour la protection de la terre, ils font de l'écologie une retape électorale avec des mots, toujours des maux… Un vrai écologiste n'appartient à aucun parti politique, car l'écologie de part son essence est universelle. L'élection présidentielle de 2007 se jouera sur le thème du chômage et de l'écologie !

Message transmis à Sarkozy et à François Tulipe, mais surtout à la brillante MARIE-GEORGE BUFFET, du Parti Communiste Français que nous aimons tous.

CLIMAT : le méthane est-il un gaz à effet de serre ?
Le méthane est un gaz à effet de serre dont les émissions influencent le climat. Quand on évoque le réchauffement de la planète, on pense immédiatement " effet de serre " et augmentation du dioxyde de carbone dans l'atmosphère. Sans rien ôter au rôle de ce dernier, un autre gaz tient une place importante sur l'échiquier climatique, le méthane. Longtemps négligé, il est aujourd'hui sur le devant de la scène. A quoi doit-on ce retournement ? Comment le méthane est-il passé du statut de gaz insignifiant à celui de pièces maîtresses sur l'échiquier climatique ? Revenons d'abord sur quelques notions fondamentales. Le méthane est une molécule très simple : un atome de carbone entouré de quatre atomes d'hydrogène, de formule chimique CH4. Elle est fabriquée en majeure partie par des bactéries qui se nourrissent de matière organique dans des milieux pauvres en oxygène et humides, tels que les sédiments, les rizières, les marais, mais aussi les décharges d'ordures et le tube digestif des animaux. Une partie de ce méthane peut être piégée tandis qu'une autre gagne l'atmosphère. En 1976, WEI-CHYUNG WANG, fait une découverte clé pour entrevoir le rôle du méthane sur le climat. En effet il démontre que le méthane atmosphérique est un gaz à effet de serre important, c'est-à-dire qu'il absorbe certaines fréquences du rayonnement infrarouge émis par la Terre, qui autrement s'échapperaient dans l'espace. Le méthane élève ainsi la température de surface de la Terre, de quelque 30°C. Depuis 1990, les hydrates de méthane présents dans les océans, focalisent toutes les attentions car ils pèsent lourd dans l'équilibre climatique. Dans ces composés les molécules d'eau organisées en sorte de cages sont capables de piéger du méthane sous forme solide ! C'est pour cette raison qu'on parle d'hydrates de méthane. Le méthane est donc aujourd'hui au premier rang des gaz à effet de serre dont il faut comprendre les retombées climatiques. Le méthane n'a pas fini de faire parler de lui.

ORANGE ARRETE TON CINEMA.
L'ECHO des MONTAGNES, toujours dans le légitime but de vous informer, vous relate l'escroquerie suivante : Il y a quelques années Mme X achète un téléphone portable, et choisit pour son malheur le téléphone portable à carte rechargeable. Au début tout allait bien dans le pire des mondes ; puis Mme X s'inquiète du débit anormal de son compte téléphonique et s'aperçoit que son compte est débité parce que périmé ; au début lorsqu'elle en avait fait l'acquisition, la carte téléphonique durait jusqu'à son épuisement normal et total ; mais voilà ORANGE en cours de route change la donne et décrète que la carte est limitée dans le temps et vous retire les minutes non consommées au bout de 15 jours ! De plus la malheureuse cliente, lorsqu'elle recharge son portable avec la carte téléphonique contenant 14 chiffres, a droit seulement à trois essais, alors qu'elle a payé sa carte rechargeable, donc on est propriétaire, donc on a la pleine jouissance ; mais avec ORANGE c'est non, vous payez et nous on a tous les droits ; Mme X faisant attention d'économiser ses minutes se voient régulièrement retirés d'office par ORANGE, 7 à 8 euros de temps de parole. Tout bénéfice pour ORANGE, alors ne soyez plus des con-sommateurs, soyez des vrais consommateurs et allez parler ailleurs.