Toujours dans le légitime but de vous
informer, votre journal préféré, l’ECHO
des MONTAGNES, vous avise des faits suivants: Le Conseil
Supérieur de la Magistrature italien a interdit
depuis 1993 aux magistrats d’appartenir à une loge
maçonnique. La justice anglaise, quant à elle,
oblige ses magistrats à le faire savoir ! En
France, dans le même temps, juges et avocats
francs-maçons, continuent chaque jour à
protéger leurs « frères »
qu’ils soient plaignants ou accusés. Nombre de
justiciables français naïfs ont
été confrontés à la
partialité brutale de divers tribunaux, surtout au
commerce, par exemple l’affaire du crédit mutuel de
STRASBOURG, jusqu’au jour où ils ont
réalisé que leur adversaire était
franc-maçon, celui-ci a profité de protection
illicite ! Car le serment maçonnique de
solidarité fraternelle oblige tous ceux qui le
prêtent à PROTEGER leur
« frère » et ce, quelque soit les
circonstances. Les magistrats français
indépendants de la franc-maçonnerie commencent
à comprendre, que c’est leur honneur et leur
légitimité de magistrats qui sont
désormais en cause. Comment accepter en effet un
système qui suit ses propres codes et possède
ses propres tribunaux au sein même de la
démocratie ? De quel droit les magistrats
francs-maçons prétendent-ils contrôler
la démocratie, alors qu’ils sont soumis aux
règles des loges ? La justice française
est chaque jour, dans les tribunaux (au civil, en
correctionnel, en assises et au commerce-(pourquoi tu
tousses le T.G.I. d’ALBERTVILLE et le commerce de
Strasbourg ?) en complète contradiction avec le
droit européen, notamment l’article 6 de la
Convention Européenne des Droits de l’Homme !
Cet article 6 accorde à tout citoyen d’un pays
signataire le droit à « un procès
équitable rendu par un tribunal
impartial ». Or dès l’instant où un
justiciable franc-maçon se présente devant un
tribunal, il devient strictement impossible de
considérer le TRIBUNAL comme IMPARTIAL, puisqu’il est
presque impossible de connaître l’appartenance
réelle des membres qui le composent. Aucun citoyen
ordinaire ne peut en effet savoir, compte tenu du
caractère occulte de la franc-maçonnerie, quel
magistrat en fait parti ou non. Mais comme environ 48% de la
magistrature fait partie de la franc-maçonnerie, il
devient probable que face à n’importe quel tribunal,
tout citoyen plaignant ou accusé se trouve face
à au moins un magistrat franc-maçon ! Si
la partie adverse est effectivement membre de la
franc-maçonnerie alors adieu à l’IMPARTIALITE
du tribunal, et bienvenue au délit d’ENTRAVE !
C’est ainsi que beaucoup de magistrats français
commettent chaque jour des délits d’entrave à
l’exécution de la justice, au titre de l’article
434-9 du code pénal. CONCLUSION: Tout procès
impliquant un justiciable franc-maçon conduit les
magistrats concernés à commettre
automatiquement un délit d’entrave à
l’exécution de la justice. Ces derniers temps, MR
DOMINIQUE PERBEN, ci-devant GARDE des SCEAUX, a
tenté, suite aux pressions du maire de NICE, de muter
l’honnête procureur ERIC de MONTGOLFIER, qui tente de
recadrer les magistrats niçois, pour les aider
à sortir de confusions dangereuses avec mafia et
pédophilie organisée, le tout sous le chapeau
protecteur de la GNLF des Fraternelles maçonniques
des magistrats (voir le site de MIRELLA CARBONATTO :
http://www.sos-justice.com). La magistrature
française fonde sa légitimité sur une
ordonnance de décembre 1958, définie comme
« loi organique » et signée par
CHARLES de GAULLE, alors président du Conseil. Cette
loi n’a pas été promulguée par le
président de la République de
l’époque,René COTY; pas plus que par aucun
autre de ses successeurs. Or selon l’article 1 du code
civil, un des fondements de notre droit, une loi n’a d’effet
qu’à partie du moment où elle est
promulguée par le Président de la
République. Autrement dit aucun magistrat
français (sauf les juges de proximité !),
n’est à ce jour légitime !!!! La
magistrature française est assise sur du sable et par
conséquent, ne répond pas aux exigences de
l’article 6 de la Convention Européenne des Droits de
l’Homme. Tous les juristes compétents savent cela.
Justiciables, récusez les juges ! Aucune loi ne
fonde leur
légitimité ! La justice actuelle en France
développe une société basée non
plus sur le droit, mais sur les lois de la jungle, où
le droit détourné et violé, sert
d’instrument aux prédateurs les plus violents,qui
confisquent les institutions de la République
Française, à leur profit, pour protéger
leurs délits et leurs crimes en col blanc ! Les
Français ne veulent plus du système judiciaire
actuelle, ils n’ont plus confiance; ce système est
intégralement malade, sa mort est proche,quoique
fasse ceux qui tentent aujourd’hui de le maintenir en vie:
le cancer juridique qui ronge le système magistrat
est en PHASE TERMINALE ! Alors, de grâce, ne
rendez plus le justice « au nom du Peuple
Français » car vous n’existez pas
JURIDIQUEMENT, cela serait une usurpation ! La vraie
JUSTICE, vous implore, à genoux, en criant:
« NE M’APPELEZ PLUS JUSTICE FRANCAISE ».
LA France N’EST PAS LA PATRIE DES DROITS DE L’HOMME. Le
journal d’investigation, archi- indépendant, l’ ECHO
des MONTAGNES, dans le légitime but de vous informer
est un journal qui écrit, de bonne foi, la
vérité des faits, en se basant sur le stricte
respect des lois,qui lui permettent justement
d’écrire TOUTE VERITE, cela s’appelle la LIBERTE de
la PRESSE, et aussi la LIBERTE d’EXPRESSION. Ces
libertés sont mises à mal par des preneurs
d’otages mais aussi par certains tribunaux, comme à
Albertville, à Strasbourg ou à Saverne !
Ces libertés figurent au nombre des principales
libertés publiques dans les régimes
démocratiques, mais pas en SAVOIE, en ALSACE et ni en
CORSE ! La liberté de la presse, la
liberté d’expression est garantie par les lois,
conventions et pactes internationaux, qu’il est important
d’énumérés ci-après, ainsi vous
saurez ce qui se trame contre votre rédacteur en chef
préféré et d’autres journalistes
dans ce monde pourri par certains politiques, auxquels
certains juges obeïssent pour faire
carrière (tiens j’entends un
hélicoptère !). J du 29 /07/1881,
toujours en vigueur actuellement. -la déclaration des droits de
l’homme et du citoyen » du 26/08/1789 stipule en
son article 11: « la libre communication des
pensées et des opinions est un droit les plus
précieux de l’homme: tout citoyen peut donc parler,
écrire, imprimer librement ». CONTRIBUABLE: OUI CON—TRIBUABLE:
NON. Toujours dans le légitime but de vous
informer, votre journal, l’ECHO des MONTAGNES va vous faire
gagner des sous, en vous prouvant l’ILLEGALITE du Code
général des impôts, car ce code n’EXISTE
pas !!!!! Votre rédacteur en chef
préféré, FREDERIC BERGER, cherche
désespérément depuis 30 ans, le
document le plus élémentaire qui soit :
L’ACTE de RATIFICATION par le PARLEMENT de la PARTIE
LEGISLATIVE du CODE GENERAL DES IMPÔTS !!! La
partie législative de ce code a été
faite par le gouvernement, et non par le PARLEMENT, comme
l’exige l’article 34 de notre Constitution. Il n’y a donc
pas de partie législative du code
général des impôts. Et pour cause, il
n’y en a pas, et en violation avec la Constitution, le juge
( !) n’a pas à contrôler la
constitutionnalité d’une loi, ici il N’Y A PAS de
LOI ! Pourtant s’il y a une partie législative
distincte d’une partie réglementaire, dans ce Code,
c’est bien pour distinguer les textes législatifs et
les textes réglementaires, ou alors les mots n’ont
plus de sens, et le mot IMPÔT non plus ! Les
impôts comme d’habitude, violent le principe
fondamental de notre Constitution, qui exige que la loi soit
voté par le PARLEMENT et veulent faire ainsi de la
France, une nation sans CONSTITUTION ! Un autre aspect
non moins tragique, voir même
« rigolo », est le fait que garder une
demande due par les fonctionnaires du fisc, ainsi que toute
personne qui en serait leur complice, sur le fondement du
code général des impôts actuel, tombe
sous le coup de l’article 432-10 du code pénal en
vigueur, réprimant l’infraction de CONCUSION ET
TENTATIVE au niveau de la connaissance de l’infraction, on
imagine mal vu le niveau de recrutement et de formation du
personnel fiscal, que les fonctionnaires triés sur le
volet, ne sachent pas la différence entre
décret et loi, texte réglementaire et
législatif, et ignorent que le code
général des impôts a été
promulgué par décret et non par une loi,
décret en date du 6 avril 1950. Conclusion: en tout
état de cause, les fonctionnaires ou huissiers,
fonctionnaires de police ou gendarme,serruriers accompagnant
les dits huissiers ou banquiers,ne pourront prétendre
ignorer l’impossibilité de demander une somme
d’argent au nom de la partie législative du code
générale des impôts: nul n’est
sensé ignorer l’ECHO des MONTAGNES et la
CONSTITUTION ! BREVES : --TOUTES VOILES DEHORS… --FAUT-IL SUPPRIMER HARRY POTER ? LA DIOXINE TUE ! BRAVO AU DEPUTE-MAIRE : NOËL
MAMERE. Toujours dans le légitime but de vous
informer l’ECHO des MONTAGNES, va essayer de vous expliquer
le danger des Organismes Génétiquement
Modifiés et, par la même occasion
félicite le député-maire Noël
Mamère qui a le courage de joindre l’acte à la
parole ! L’O.G.M. est un organisme vivant, dont l’homme
a modifié le patrimoine génétique, afin
de le doter de propriétés que la nature ne lui
a pas attribuées; c’est par manipulation et
recombinaison de l’Acide DesoxyriboNucléique (ADN) et
donc porteur de l’hérédité, que l’on
construit des OGM. Le génie génétique
est l’ensemble des techniques qui permettent de
réaliser ces manipulations, par coupure et
réinsertion de gènes. Ainsi peut-on introduire
un gène de scorpion dans du maïs ou bien un
gène humain dans un porc pour obtenir des bêtes
plus musclées et moins grasses ! La
trangénèse (introduction de gènes
étrangers dans un organisme) conduit à la
création de chimères dont les comportements
sont imprévisibles. Les conséquences
écologiques des disséminations dans
l’environnement des plantes transgéniques mettent
donc en DANGER TOUTE VIE. C’est pourquoi l’ECHO des
MONTAGNES s’oppose résolument à la culture
à grande échelle des plantes
génétiquement modifiées et à la
dissémination des O.G.M. dans la nature, car ces
O.G.M. représentent des dangers:
-nos agriculteurs, jardiniers de la France,
en cultivant avec amour la terre de leurs ancêtres,
respectent « l’ordre de la Nature » contraint
par la reproduction sexuée des plantes et par la
notion d’espèce. La manipulation
génétique viole l’ »ordre de la
Nature », car elle s’affranchit de la
« barrière d’espèce »,
laquelle empêche par exemple un cheval de se croiser
avec un chat. L’Homme a construit, grâce au
génie génétique, des organismes qui
n’auraient jamais existés dans la nature et dont le
comportement sera dangereux pour l’homme. Frédéric Berger - 2004 - Au prochain numéro : La France est-elle une République laïque ? |